Étiqueté : Complexe militaro-industriel
L’annonce soudaine par le président Trump d’un retrait « total » des troupes de Syrie a divisé le système politique américain et révélé au grand jour ses lignes de fracture.
Nous assistons à des offensives répétées de propagande contre Pékin de la part des États-Unis et d’autres contre « l’incarcération et la répression de masse des Ouïghours, des Kazakhs et d’autres minorités ethniques dans le Xinjiang ». Que se cache-t-il derrière l’inquiétude occidentale sur le sort des Ouïghours ?
En prenant connaissance des problèmes rencontrés par les officiels de l’armée américaine, il est difficile de se départir de l’impression que ce n’est pas un document du Département de la Défense américain daté de septembre 2018 qui est sous vos yeux, mais une description des problèmes de l’armée russe à l’époque des années 90. Littéralement aucun secteur n’est exempt de problèmes graves ou très graves.
Après la première guerre du Golfe et l’effondrement de l’URSS, les États-Unis, aveuglés par leur succès et gonflés par leur hybris, ont perdu tout sens des réalités. Un mélange de religion et de supériorité technologique momentanée les a conduit à tout miser sur la technologie de la furtivité au détriment du reste, bref, à mettre tous leurs œufs dans le même panier.
La véritable raison pour laquelle la hache de guerre a été déterrée contre MBS n’est pas un seul meurtre extrajudiciaire — une pratique dont les Saoudiens sont coutumiers depuis longtemps, et jusqu’ici en toute impunité — mais le fait que MBS se soit mis à dos l’ensemble du complexe militaro-industriel américain et les plus grandes institutions financières du monde, dont Goldman Sachs et CitiGroup.
L’intention annoncée par le président Donald Trump de retirer les États-Unis du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI) de 1987 n’est que la dernière mesure prise par Washington pour démanteler des décennies d’accords de contrôle des armements durement gagnés.
Un article paru le 21 juillet 2017, après l’annonce de la tumeur au cerveau de McCain qui a fini par l’emporter samedi, avec une liste édifiante de pays où le sénateur de l’Arizona appelait à des interventions militaires des USA.
« Aujourd’hui, il semble que nous soyons entrés de plain-pied dans une nouvelle guerre froide » – Par Ken Livingstone, politicien britannique travailliste et ancien maire de Londres.
Facebook a supprimé la page d’encore un autre média. Cette fois, il ne s’agit pas d’un réseau d’extrême droite comme Infowars
L’OTAN n’a rien à voir avec une quelconque défense européenne, c’est juste une machine à gagner de l’argent pour le complexe militaro-industriel des États-Unis. Et le dernier sommet n’a marqué aucune rupture dans l’unité de l’alliance.